Nom de code Digit, Annabel Monaghan, La Martinière jeunesse
Farah Higgins est un
véritable génie des maths. Suites logiques, équations à multiples inconnues,
codes secrets… elle est capable de tout résoudre. C’est pourquoi au lycée, tout
le monde l’appelle Digit. La passion de Farah pour les mathématiques est
presque élevée au rang de TOC tant elle est s’attache à ce que l’univers qui
l’entoure soit parfaitement logique et symétrique.
Alors que toutes les adolescentes de son âge sont davantage intéressées par le maquillage et les beaux garçons, dans la vie de Digit, il n’y a de la place que pour les maths. Mais la jeune fille en a assez de passer pour l’originale de service et souhaite se fondre dans la masse insipide des lycéennes qui l’entourent. Et son plan fonctionne à merveille jusqu’au jour où elle décrypte un mystérieux code lié à un complot terroriste. Affolée, elle décide de prévenir les autorités. Dès lors, elle est prise dans un engrenage infernal : accompagnée d’un jeune et bel agent du FBI, la voilà obligée de fuir pour sauver sa peau…
Alors que toutes les adolescentes de son âge sont davantage intéressées par le maquillage et les beaux garçons, dans la vie de Digit, il n’y a de la place que pour les maths. Mais la jeune fille en a assez de passer pour l’originale de service et souhaite se fondre dans la masse insipide des lycéennes qui l’entourent. Et son plan fonctionne à merveille jusqu’au jour où elle décrypte un mystérieux code lié à un complot terroriste. Affolée, elle décide de prévenir les autorités. Dès lors, elle est prise dans un engrenage infernal : accompagnée d’un jeune et bel agent du FBI, la voilà obligée de fuir pour sauver sa peau…
La couverture orange flash
m’a tout de suite interpelée et lorsque j’ai lu la quatrième de couverture, et
surtout l’accroche qui l’accompagnait : « Un duo de choc pour un
thriller sexy et plein d’humour » je me suis dit que cette lecture serait
parfaite pour l’été.
Je n’ai pas été déçue.
Sans être le livre du siècle, Nom de code
Digit est toutefois un roman très chouette et agréable à lire qui m’a fait
passer un très bon moment.
J’ai beaucoup aimé le
personnage de Farah, cette adolescente pas comme les autres. Sa repartie et son
sens de l’humour m’ont bien fait rire et j’ai adoré toutes ses tentatives
maladroites pour se rapprocher de John, le bel agent du FBI. Digit est une
héroïne comme on les aime : dynamique, drôle et qui ne se laisse pas
marcher sur les pieds. Pour être bien accueillie au lycée, elle a décidé de
jouer les minettes effarouchées et s’est parfaitement fondue dans la masse. Mais
au contact du FBI, de John et de gens qui la comprennent et partagent sa
passion pour les mathématiques, Farah s’est enfin acceptée et révélée au grand
jour, dévoilant un caractère bien trempé et un sens de l’humour développé, pour
notre plus grand plaisir ! Pas très original il est vrai, mais ça
fonctionne et ça fait plaisir à lire, alors que demander de plus ?
L’intrigue
« policière » est assez simple et manque parfois de crédibilité, mais
la lecture n’en reste pas moins très agréable. Il y a beaucoup de péripéties et
on ne s’ennuie jamais. On se prend au jeu, on s’amuse, et on tente même de
déchiffrer les énigmes – et croyez-moi, venant de moi c’était vraiment pas
gagné – et avant même de s’être rendu compte de quelque chose, hop, le livre
est déjà terminé ! Je n’en garderai sans doute pas un souvenir
impérissable pendant de longues années, mais j’ai aimé faire la découverte de
ce petit livre sans prétention et rudement bien mené.
C’est frais, léger,
dynamique, pétillant. Bref, j’ai beaucoup aimé.
Et je vous quitte sur une
des répliques cinglantes de Digit qui m’a le plus marquée – faut dire que
question migraines, je m’y connais pas mal !
« Je l’enviais : quand on n'a rien dans la tête, on n’a pas de migraines. »
J'ai également beaucoup aimé ce roman pour les mêmes raisons. Frais pétillant, un livre sans prétention qui nous fait passer un excellent moment... Que demander de plus? lol
RépondreSupprimerDans le même style, je te conseille Bye bye crazy love de Joe Schreiber, également paru chez De la Martinière jeunesse.
Merci pour le conseil. J'en prends note ;-) J'en avais entendu parler en effet.
RépondreSupprimerEt ta chronique donne très envie en plus. Je te dirai quand je le lirai.